C’est un bel homme, chenu certes, mais à la poignée de main restée ferme.Son regard étrange et pénétrant vient de ce qu’il a un œil noisette, l’autre lilas.Il est de ces vieux Provençaux,
voyance par mail, élevés encore au patois (pas à celui qu’on enseigne à l’école) et passionnés des félibres.Il n’ignore rien de Mistral, de Roumanille ou de Reboul, dont « La cuisinière provençale » trône, depuis toujours, sur le buffet de la grande cuisine familiale.
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