Ta voix, nasillarde, haut perchée, comme une baudruche qui se dégonflerait en essayant de se faire remarquer ; tes mots résonnent comme des, voyance par mail, pets bruyants à mes oreilles : ils me heurtent de plein fouet, obscènes, déplacés, odorants Oui, odorants Eu égard à ton haleine avoisinant celle du poney en rut, puissance mille.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.